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accolade  Anciens Etudiants

 

Témoignages d’étudiants issus d’un L2 classique

  • SY (major de promotion en thèse à l’Institut Weitzman) A la fin de mon parcours universitaire en France, je voulais vous remercier personnellement pour la formation unique dont j’ai bénéficié. Je regrette ne pas avoir eu le temps de vous voir après les soutenances de M2 pour vous le dire, mais ma visite a été très courte. Je pense que beaucoup de gens a la fac n’apprécient pas assez la chance qu’ils ont, de pouvoir profiter gratuitement d’une éducation universitaire de haut niveau, ouvert a tous. Surtout, je voulais exprimer mon estimation au travail fait par vous dans le cadre du magistère. Je suis conscient que les ressources de l’université ne sont pas énormes. Pourtant, je constate maintenant que ma formation ne pas inferieure a celle des thésards venus des instituts mieux finances. De fois je pense qu’elle est même meilleure. Ceci est uniquement grâce aux efforts, et aux horaires longues de travail, investis par des enseignants comme vous, Mme Isnard ou M. Zider dans les étudiants du magistère. Je sais que ces efforts ne sont pas toujours récompenses, mais je vous assure, qu’au moins de ma part, ils sont très appréciés. Donc, encore une fois, merci beaucoup a vous, et aux autres enseignants.
  • G. T (étudiante en thèse) Cursus très complet, enseigné avec sérieux par des enseignants/chercheurs très compétents. Au delà des cours de génétique, au Magistère sont enseignés entre autres la Biologie Moléculaire, Cellulaire, Quantitative, Statistiques etc. de façon approfondie ce qui permet une vision complète de la biologie, à mon avis, indispensable. De plus le large choix de modules en M2 donne la possibilité de se spécialiser dans le domaine de prédilection de chacun. Enfin, le Magistère donne l’opportunité d’effectuer 3 stages (L3, M1 et M2) (dont un à l’étranger !) dans des laboratoires de qualité !
  • M. R (étudiant en thèse) Le Magistère de Génétique m’a apporte le bagage théorique, et l’expérience nécessaire au projet professionnel que je me suis fixe (stage de 2 mois (L3) a Fribourg, Suisse en Biologie Végétale, stage de 6 mois a Memphis, Tennessee USA sur le développement du télencéphale de la souris et stage de 8 mois a Paris dans l’équipe avec laquelle je fais actuellement mon doctorat - Génétique de la Resistance aux Stress oxydants et du Vieillissement chez l’organisme modèle /D. melanogaster/).
  • G. M (étudiant en thèse). Le magistère de génétique est une très bonne formation pour qui souhaite devenir chercheur ou enseignant à l’université. L’enseignement théorique est riche et les élèves sont très bien formés aux épreuves qu’ils affronteront par la suite (oraux, lecture d’articles, travail de réflexion sur un sujet de recherche,…). Les stages (en particulier à l’étranger), qui font partie intégrante du cursus, sont un atout très apprécié des laboratoires qui emploieront les étudiants en M2 et en thèse. Le magistère ouvre de nombreuses opportunités dans les mondes de la recherche et de l’université. À vous de les saisir.
  • C. T (en thèse aux USA). Points positifs (voire très positifs) : stage à l’étranger (qui entre autres, et d’une manière générale, permet de faire des contacts, et d’un point de vue plus personnel m’a permis de commencer un programme doctoral à l’université du Maryland). Diversité des modules et des milieux de recherche des différents intervenants, ce qui permet de développer une vision un peu plus large du monde de la biologie et de la génétique qu’un cursus plus spécialisé (et en bio, on a de plus en plus besoin de gens qui sont formes a un peu plus que juste la bio moléculaire !). Points négatifs : d’un point de vue purement académique, pas assez de TD/TP. D’un point de vue pratique, organisation inhérente à la fac de Jussieu................. et d’un point de vue personnel je dirais juste que ca forge le caractère :D
  • E. E (étudiante en thèse). Ce que j’ai apprécié dans ce cursus, ça a été la possibilité d’acquérir une expérience en laboratoire au travers de stages, et ce dès le L3. J’ai eu de plus la chance de pouvoir partir pendant 5 mois à New York dans le cadre de mon stage de M1, ce qui m’a permis de découvrir un autre pays, une autre façon de travailler, et de me perfectionner en anglais. L’anglais est un des atouts de ce cursus, puisque l’année de M2 est organisée sous forme de séminaires en anglais. En résumé, j’ai beaucoup apprécié le fait de pouvoir acquérir, en plus d’une formation en génétique, une vraie expérience en laboratoire au terme de ce cursus.
  • LB (en thèse en Suisse). Je pense que c’est une très bonne idée de créer une rubrique pour les anciens élève. En ce qui me concerne cela fait déjà un an que j’ai quitté le Magistère et que je fait parti du programme doctoral frontiers in genetics. Après une année de rotation je me suis installé à Zurich pour commencer ma thèse dans le laboratoire du Pr. Basler. Pour moi le Magistère a été d’une aide précieuse dans mon acceptation en école doctorale et je pense qu’il en est de même pour mes collègues du Magistère. Je vous souhaite à vous et à toute l’équipe enseignante le meilleur pour les années à venir, j’espère que le Magistère perdurera encore longtemps et que nous pourront tous fêter ces trente ans.
  • NB (ingénieur agronome). Je suis diplômé ingénieur agronome depuis fin 2005. J‚ai fini major de ma spécialisation en biotechnologie et amélioration des plantes. De plus, lors de la remise des diplômes, j‚ai reçu le prix du meilleur ingénieur de la promotion, décerné par l‚Union Régionale de Ingénieurs et Scientifiques Midi Pyrénées (URISMIP). J‚ai réalisé mon projet de fin d‚études, qui avait pour thématique de la génétique quantitative, dans une entreprise semencière du Sud Ouest qui m‚a embauché au lendemain de la fin du stage. Je suis actuellement responsable de l‚activité conversion (introduction d‚un caractère par Backcross en pépinière ou backcross assisté par marqueurs) des lignées élites de maïs, colza ou tournesol depuis janvier.
  • NF (Journaliste). Je ne sais pas si mon avis sera utile dans la mesure où j’ai désormais vraiment changé de voie. J’ai un peu zigzagué... Journalisme scientifique, puis “chargé de mission” (!) dans un service d’éthique médicale à Cochin. Je suis finalement passé à la réalisation de films documentaires, et là je pense que j’en ai au moins pour quelques années ! Je fais partie des intermittents heureux... Au cas-où je vous écris quelques lignes ! Qui sont sincères. J’espère que toute l’équipe se porte bien, Mon parcours est sans doute atypique puisque je n’ai pas continué dans la biologie : après le Magistère j’ai été journaliste scientifique quelque temps, et aujourd’hui je réalise des films documentaires. Le Magistère a toujours été ma “valeur ajoutée” par rapport aux autres journalistes ou réalisateurs qui veulent parler de sciences. C’est la fameuse double compétence... Au-delà de cela, et finalement beaucoup plus important sur le long terme, le Magistère a été une formation scientifique qui m’a appris à réfléchir de façon à la fois rigoureuse et ouverte. Dans mon métier bien sûr, mais aussi dans tout mon quotidien. La compétence des enseignants et le temps qu’il savent consacrer individuellement aux étudiants y est pour beaucoup.
  • N.B. (post-doc). Le premier atout du magistère de Génétique est de pouvoir faire des stages de recherche en laboratoire et donc de se rendre compte très tôt de ce qu’est un travail de recherche. En maitrise j’ai eu la chance de pouvoir faire mon stage en Espagne. Ce fut une expérience extrêmement enrichissante et c’est un avantage majeur d’avoir la capacité de s’expatrier lorsque l’on veut faire de la recherche. Le magistère dispense des cours extrêmement pointus et au plus prés des découvertes les plus récentes. Cela m’a permis d’acquerir des connaissances très précises dans de nombreux domaines qui me servent encore tous les jours. Les nombreux TP et TD m’ont forme a la réflexion et m’ont donne le gout de la recherche scientifique. Les cours en groupe restreint d’éléves permettent d’approfondir certains aspects intéressants des sujets abordés. Cette formation m’a également appris a prendre la parole en publique et a faire des exposés ce qui est indispensable dans mon métier. J’etais au magistère de 1997 a 2000. Je suis maintenant depuis fevrier 2005 en post doc dans le laboratoire du Dr Tomer Avidor-Reiss a Harvard Medical School a Boston.
  • D.F. (journaliste). Ma réponse à votre mail, ne sera peut-être pas des plus intéressantes pour votre site car mon parcours n’est pas très représentatif et un peu décalé par rapport à la vocation première du magistère (aujourd’hui je travaille dans la vulgarisation scientifique et le journalisme). Toutefois je garde un très bon souvenir de cette formation. J’ai beaucoup apprécié qu’une large place soit faite à la réflexion et à la déduction. Apprendre à se poser les bonnes questions plus qu’ingurgiter un savoir figé, me semble une excellente préparation aux métiers de la recherche. Enfin la complémentarité stage/enseignement fonctionne parfaitement.
  • S.L. (post-doc). J’ai suivi la deuxième année de magistère seulement, en 1999-2000. Je ne sais pas comment a évolué le magistère, mais en tout cas pour ma part il a été positif pour deux raisons principales :
    - Disponibilité des professeurs (peu d’élèves en cours, possibilité de discuter avec les enseignants)
    - Enseignement qui m’a permis d’obtenir mon DEA avec beaucoup de facilité J’ai soutenu ma thèse cette année (janvier 2006) sur la sécrétion polarisée chez C. elegans, à Strasbourg (IGBMC). Je suis actuellement en post-doc à l’IBMC (Strasbourg) et je travaille sur les relations hôte-pathogène chez la Drosophile.
  • M.D. (Magistère de Génétique de 1997 à 2000. Aujourd’hui, Consultant en Financement de l’innovation - ALMA Consutling Group). J’ai terminé ma thèse à l’institut Curie fin 2004. Pendant les deux premières années de ma thèse en 2001/2002, j’ai suivi un enseignement en cours du soir à l’IAE de Paris où j’ai obtenu un MBA. Depuis 2005, je travaille en tant que consultant en financement de l’innovation chez ALMA Consulting Group, toujours au contact du monde de la recherche, mais côté financier. La formation scientifique que m’a apportée le magistère de Génétique de Paris 7 a été d’une grande qualité. J’ai pu y acquérir une culture scientifique pointue et très large qui a contribué à m’ouvrir les portes du DEA que j’avais envisagé dès ma première année de magistère ainsi que celles du laboratoire dans lesquels j’ai effectué ma thèse. Après quelques années de recul, je retiens la qualité d’une formation qui m’a permis de suivre un enseignement en petits effectifs, un contact favorisé avec les enseignants, ainsi qu’une émulation motivante portée par le groupe d’étudiants qui avaient la chance de suivre ce magistère. C’est, je crois, grâce au magistère que j’ai pu appréhender rapidement et de façon pertinente le milieu de la recherche. Cette formation m’a donné les clés pour choisir en toute connaissance de cause de poursuivre mon parcours universitaire par une thèse de virologie réalisée à l’institut Curie.
  • AD (étudiante en thèse). Mon passage par le magistère de génétique m’a permis de mettre très rapidement un pied dans la recherche. En effet, le fonctionnement en petit effectif propre au magistère fait qu’il est possible d’avoir un enseignement de qualité ou chacun est pris en compte face a ses difficultés et ses atouts. Chacun est connu et reconnu et donc cela permet de creer des liens entre les chercheurs enseignants et donc trouver plus facilement des déboucher pour les thèses ou autre. De plus la sélection qui a lieu a l’entrée nous permet de nous retrouver entre gens motivés et désireux d’enrichir leurs connaissances dans le domaine de la génétique. En outre l’effectif réduit présente aussi l’avantage de permettre une entraide et surtout le maintien d’une relation entre les différentes générations et de pouvoir voir le devenir de chacun ce qui peut permettre aux promotions suivantes de découvrir quelles sont leurs possibilités professionnelles futures en suivant l’exemple des plus anciens. Parallèlement je crois que seul ces types de formations peuvent offrir la possibilité de faire des stages a l’étranger à leurs étudiants. En effet j’ai eu la chance de faire un stage aux Etats Unis ce qui a grandement enrichi non seulement ma maitrise de la langue anglaise mais aussi ma connaissance scientifique. Or seul un effectif réduit peut permettre au directeur d’entreprendre de telles démarches. Pour moi le magistère a été très enrichissant car il est un palier entre l’école et la fac. En effet j’ai eu la chance de pouvoir dialoguer en cours avec des enseignants chercheurs répondant a toutes non interrogations et nous transmettant leur amour de la science ainsi que leur passion. Ceci je ne l’avais pas connu durant mes années de DEUG (et pourtant je viens d’une petite fac ou les effectif ne dépassent pas 100 étudiants) où hélas, dans un amphitéatre, les étudiants sont une masse et non une personne a part entière. Durant mes années au magistère j’ai aussi appris a avoir une démarche scientifique a part entière en effet il nous était souvent demander des analyses d’articles, des critiques d’expériences, des démarches expérimentales pour prouver telle ou telle donnée. Or je pense que cet apprentissage est atout avant de débuter une thèse car on sait déja faire face a un problème scientifique et élaborer des hypothèses et des moyens pour répondre a ces différentes questions.

Témoignages d’étudiants issus des prépas

  • F.S. (prépa Lycée du Parc Lyon, étudiant du L3 du magistère). Après deux ans en classe préparatoire BCPST au Lycée du Parc, voulant faire de la recherche en génétique et biologie du développement, j’ai choisi d’intégrer le Magistère Européen de Génétique plutôt que de suivre la voie classique des Grandes Ecoles. Aller à l’université est souvent la plus grande peur des étudiants de prépa, la décadence absolue, le signe de deux années d’échec. C’est en réalité le meilleur moyen de parvenir à ses fins lorsqu’on veut faire de la recherche fondamentale. Le premier avantage de l’université est que les professeurs sont des chercheurs en activité. N’étant pas enseignant à temps plein, ils sont parfois moins bons pédagogues qu’un professeur de prépa, mais en revanche ils viennent parler de sujets qu’ils connaissent très bien. Les cours se basent donc sur des informations récentes, avec les incertitudes de la recherche en cours. Le second avantage est que les cursus sont spécialisés, toutes les matières sont au service de ce que vous voulez faire plus tard : la bioéthique et les statistiques remplacent l’étude de Saint Augustin et des espaces vectoriels. En plus de ces atouts liés aux cursus universitaires, le Magistère Européen de Génétique présente quelques particularités qui le distinguent des autres cursus. Tout d’abord c’est un Magistère, il est donc très spécialisé dès l’année de L3. Ensuite c’est un Magistère de Génétique, vous n’y ferez donc que de la Génétique, en tous cas en L3. Depuis les mécanismes moléculaires de la traduction, à l’évolution des fréquences alléliques au sein d’une population, en passant par les mille et une façon d’étudier des bactéries mutantes : quasiment que des matières nouvelles pour un étudiant en prépa, ce qui est très stimulant. Donc si vous ne voulez pas faire de la recherche, et que vous n’aimez pas la génétique, passez votre chemin ! Troisièmement, c’est un cursus sélectif et en effectif réduit (42 personnes cette année), ce qui permet à la fois un bon niveau et une proximité relative avec les professeurs. Enfin, c’est surtout pour les stages exceptionnels qu’il permet dès la L3 que le Magistère se distingue. Certains étudiants sont sélectionnés sur CV et lettre de motivation pour partir quatre mois en Amérique du Nord (12 cette année) ; les autres partent trois mois en Europe dans des laboratoires parfois très prestigieux (Cambridge, EMBL, Karolinska Institutet...). Bien sûr il y a quelques déçus, les places à Cambridge et autres n’étant pas illimitées, mais les sujets de stage sont tous très intéressants. Signalons aussi que certains stages en Europe et tous ceux en Amérique du Nord sont rémunérés. Le seul inconvénient étant que si vous voulez partir en Amérique, vous n’aurez que quatre semaines de vacances sur toute l’année : deux avant chaque partiel. Autant dire que le cliché voulant que l’université soit pour les feignants est loin d’être justifié.
  • C.B. (Prépa BCPST, étudiant du M1 du magistère). Après trois ans de classes préparatoires BCPST, j’ai préféré intégrer le Magistère plutôt que de rejoindre une école d’ingénieurs. En effet, l’agronomie et l’agro-alimentaire ne me plaisaient pas, je souhaitais me diriger vers la recherche. Ayant eu la possibilité d’intégrer plusieurs écoles différentes, mes professeurs m’ont poussé à intégrer une école qui m’assurerait un bon emploi et un bon salaire, la fac étant considérée comme une voie ne conduisant à aucun métier, où on ne travaille pas, etc... Pour eux retourner en fac après une prépa est un constat d’échec. J’ai cependant résisté à ces pressions pour me diriger vers une voie qui me plaisait, malgré une certaine angoisse au début sur ma future insertion professionnelle. Ces craintes ont d’ailleurs été dissipées, et si le métier de chercheur peut sembler moins sûr et moins rétributeur que celui d’ingénieur, je pense que faire un métier passion qui nous permet de voyager et d’être en contact avec des gens du monde entier n’a pas de prix ! Actuellement en M1, je ne regrette absolument pas mon choix ! Je dirais même que certains de mes anciens camarades n’ayant pas osé sauter le pas m’envient. En effet, notre formation est très complète, nos cours variés et très intéressants. Quant au stage, nous cumulons plus de mois que beaucoup d’écoles d’ingénieurs. De plus, avantage inestimable par rapport aux écoles, nos stages nous sont trouvés par nos professeurs. Ceci nous enlève le stress de la recherche et nous ouvre les portes d’instituts de recherche de réputation exceptionnelle. Pour ma part, je pars cette année à Harvard, ce qui aurait été totalement inenvisageable en intégrant une école d’ingénieurs. Certains de mes amis de prépas ont tenté de trouver un stage aux USA mais ont dû y renoncer du fait de la complexité des démarches et de l’absence de soutien de leurs écoles. En résumé, je suis ravie de mon choix et le referais sans hésiter. Je suis convaincue que le Magistère est une très bonne voie pour tous les étudiants de prépas souhaitant faire de la recherche mais qui trop souvent renoncent découragés par la difficulté des concours ENS et totalement ignorants des autres voies comme le Magistère. Je trouve très dommage que ces étudiants choisissent des écoles d’ingénieurs par dépit, suite à un manque d’information et une obstruction de profs qui ne connaissent rien à la fac et encore moins au magistère. Pour ma part, j’ai découvert le magistère tout à fait par hasard en faisant des recherches sur les filières offrant une formation en génétique, jamais personne ne m’en a parlé durant mes trois années de prépas.
  • C.G. (Prépa Lycée Ozenne à Toulouse, Etudiant M2 du magistère). J’ai préféré le magistère à une école d’ingénieur après deux années de classe préparatoire BCPST. Je ne le regrette en aucun cas. Le Magistère m’a apporté beaucoup, tant au niveau théorique que pratique, grâce à des cours, des intervenants et un encadrement parfait, mais aussi grâce aux offres de stages à l’étranger dès le L3. Il s’agit d’une excellente formation universitaire à effectif réduit, qui propose aux étudiants de découvrir très vite le monde de la recherche en rendant obligatoire les stages en L3 et M1. Je peux dire qu’à l’issue de mon M2 j’aurai acquis des savoirs théoriques et pratiques que tous les étudiants de master n’ont pas la chance de posséder. On nous apprend à réfléchir, penser la recherche et pas seulement à accumuler des connaissances. Contrairement à beaucoup de master recherche, au Magistère nous sommes vraiment formés à devenir chercheur. La place qui est accordée à l’Anglais au cours de la formation, par l’intermédiaire de stages à l’étranger et le M2 entièrement en Anglais sont une vraie chance. Les formations universitaires d’excellence existent : le Magistère en fait partie.
  • G.O. (Prépa Claude Fauriel (Saint-Etienne), Etudiant M1 du magistère). J’avais la possibilité d’intégrer une école d’ingénieur (Agro ou Archimède) après mes 2 ans de prépa. J’ai choisi d’aller au magistère pour bénéficier d’un enseignement orienté vers la recherche fondamentale, alors que les écoles d’ingénieurs proposent peu de sciences fondamentales mélangées à beaucoup de sciences appliquées et d’enseignements non scientifiques (droit, management, marketing, ...), donc majoritairement des choses qui ne m’intéressaient pas. Mais ce qui m’a surtout attiré, c’est bien sûr les stages : c’est quand même un luxe de pouvoir partir deux fois à l’étranger sans avoir à chercher nous-même un labo d’accueil. Donc je pense que c’est ça que le Magistère nous apporte : un bon contact avec le "monde" de la recherche, en France ou à l’étranger.
  • M.C. (Etudiante M1 du magistère, Prépa Lycée du Parc de Lyon). Je suis actuellement en M1 et j’ai fais une prépa BCPST. Je confirme qu’en prépa on nous fait comprendre qu’on ne peut faire qu’une école d’ingénieur, je l’ai beaucoup ressenti dans ma prépa où la réputation (montrée par le nombre d’admissions en écoles d’ingénieur et vétérinaire) était très importante. Cependant je ne regrette absolument pas d’être parti en université : je trouve le milieu beaucoup moins scolaire, nous sommes plus autonomes, et on peut vraiment choisir ce qui nous plait d’étudier, le choix entre les différentes universités est très large. Je ne voulais pas aller en école d’ingénieur et continuer d’étudier les mathématiques la physique ou la chimie qui ne m’intéressaient pas et être limitée entre agro-géologie-véto-biotechnologies Le gros point positif du magistère ce sont les stages. Je connais plusieurs personnes en écoles d’ingénieur ou à l’ENS et ils doivent pour la plupart trouver leurs stages seuls, même à l’étranger, et ils doivent trouver seuls des bourses ou négocier un salaire... De plus le fait d’intégrer un magistère nous assure un parcours jusqu’en M2 si nous validons nos années, alors que ce n’est pas forcément le cas dans d’autres universités. Enfin le dernier point qui m’a poussé à partir au magistère c’est le taux d’admission en école doctorale qui est très élevé par rapport à d’autres formations dans d’autres universités, notamment grâce aux stages dans de très bons laboratoires.
  • A. F. (Prépa Lycée Thiers Marseille, étudiante du L3 du magistère). Je suis actuellement en L3, et je suis une ex-prépa. Il est évident qu’en tant qu’élèves de classes préparatoires, nous ne sommes pas assez informés sur les cursus tels que le Magistère Européen de Génétique. Je me suis intéressée à cette filière après avoir vu une affiche collée à l’entrée de ma prépa et ai donc décidé de faire les démarches nécessaires pour tenter d’être acceptée. La Génétique a toujours été un domaine qui m’attire et ce Magistère me permet de travailler les matières qui m’intéressent vraiment ! De plus, l’ambiance universitaire est complètement différente de celle de prépa, elle me fait gagner en autonomie et l’entraide entre les élèves est plus forte. Enfin, les stages à l’étranger qu’il est possible de faire avec ce magistère sont un énorme atout car ils permettent non seulement de découvrir le monde de la recherche mais aussi d’acquérir une expérience que ni les grandes écoles ni les autres cursus universitaires nous permettent de faire.
  • S. C. (Prépa BCPST, Etudiante L3 du magistère). Je suis en ce moment en L3 au Magistère et j’étais en prépa BCPST. Il faut savoir que, comme un grand nombre de personnes, j’ai intégré une prépa sans savoir réellement ce que j’allais faire par la suite, je savais juste que je voulais faire de la recherche en génétique (assez vague comme idée je dois dire). Durant ces deux ans, je me suis renseignée sur les écoles proposées après les concours : écoles agronomique, écoles véto, géologie, banque archimède... mises à part quelques filières menant à ingénieur chercheur en écoles de biotechnologies, rien ne m’intéressait ! Et je ne me suis pas réellement renseignée sur les autres formations car il est vrai qu’en prépa, le ’retour en FAC’ est, malheureusement, vu comme un échec. Grâce à mon professeur principal qui avait reçu une brochure sur le magistère, j’ai découvert une filière qui paraissait me convenir parfaitement : les matières abordées, les stages proposés ainsi que les débouchés en font une formation tout à fait solide et passionnante. Après un semestre de cours et des discussions avec les deuxièmes années, je reste sur mes positions : les cours sont intéressants, le petit effectif permet une bonne cohésion de classe qui facilite l’entraide, les professeurs sont disponibles et les stages promettent d’être très enrichissants. Pour finir, le reproche qu’on pourrait faire de la Fac par rapport aux écoles d’ingénieurs vis à vis du manque d’insertion professionnelle me semble, avec cette formation, être pallié par les stages obligatoires à l’étranger ainsi que par les visites de laboratoires. Je ne regrette donc en rien d’avoir pu intégrer le magistère et conseille cette formation à toute personne désirant faire de la recherche en biologie.
  • P.S. (Prépa Blaise Pascal Clermont Ferrand, Etudiant M1 du magistère). Je suis issu d’un parcours CPGE BCPST. Il est vraiment que nous avons constamment été sous informé sur ce que la FAC nous offrait. En ce qui concerne la formation je suis très heureux d’avoir pu l’intégrer étant donné qu’elle s’axe plus dans le parcours professionnel que je souhaitais. En effet, une fois ma 3/2 achevé je me suis aperçu que les écoles d’ingénieurs ne me plaisaient pas, et que je ne me sentais pas la vocation pour faire vétérinaire. Je souhaitais me rediriger vers la recherche et la seule proposition que mes professeurs m’ont fait a été l’ENS, heureusement que j’ai été contacté par votre formation pour me rediriger vers la FAC. Actuellement en M1 je trouve cette formation très agréable, le rythme de travail y est correct. Mais par contre nous sommes constamment placés dans un cadre de réflexion, nous ne sommes pas passif face à un cours mais en interaction sur des sujets d’actualités en rapport avec la recherche. De plus les stages offrent une ouverture international et culturelle non négligeable, ainsi que de nombreux travaux de présentation en coopération avec des laboratoires et entreprises.
  • AL. D. (Prépa Lycée du Parc, Etudiante M1 du magistère). Voilà mon commentaire sur le magistère. Je viens de prépa et c’est vrai que la seule voie qu’on nous propose est l’intégration d’une école. La plus grande opportunité que le Magistère apporte est indiscutablement les stages. Il est certes possible de faire des stages en intégrant des écoles d’ingénieurs ou même de faire une année de césure pour faire des stages, mais la qualité des stages n’y est pas forcément. En effet, nous avons la possibilité, dès le L3, d’aller à l’étranger pour quelques mois dans des instituts de grande renommée et où la qualité de la recherche n’est plus à prouver. De plus, je pense que le Magistère est une très bonne formation pour les gens qui veulent faire de la recherche. Sortant de classes préparatoires et ayant donc des connaissances en écoles d’ingénieurs, j’ai pu m’apercevoir que la formation que nous avons en génétique est bien plus solide et amène bien plus à une réflexion de chercheur dès le L3. Outre l’ENS, je pense que le Magistère est la voie qui forme très certainement au métier de chercheur, entre autres grâce à la formation passant par les stages chaque année.
  • J.S. (Prépa ENCPB, Etudiant M1 du magistère). Issu d’une filière technologique et passionné de biologie, j’ai intégré la seule classe préparatoire qui m’était offerte (TB). Après deux ans, je me suis rendu compte que devenir ingénieur agronome ne me convenait pas, alors que la recherche m’intéressait mais me semblait dès lors inaccessible. L’opportunité que j’ai eue d’intégrer cette filière m’a permis de pleinement m’épanouir au niveau scientifique. Tout d’abord, je me suis vite rendu compte que faire de la recherche nécessite de faire un doctorat, ce qui n’est envisageable que par le biais de l’ENS ou de la faculté. En cela, dans le cadre de l’université, faire le magistère semble être la voie la plus adaptée pour intégrer une école doctorale. Deuxièmement, le magistère me permet de vraiment découvrir ce qu’est la génétique et de me passionner pour cette science d’avenir, pour par la suite en faire mon métier. Troisièmement, le Magistère est une aubaine pour faire des stages à l’étranger dans des laboratoires de renommée mondiale et de mettre ainsi en pratique pendant 3 et 5 mois ce que j’apprends. Enfin, l’apprentissage reçu grâce à un programme complet en génétique et l’étude dispensée par des enseignants chercheurs, me permet d’avoir une formation unique et au coeur de la recherche actuelle . Le Magistère de Génétique me paraît donc extrêmement intéressant et enrichissant pour les étudiants de classe préparatoire, c’est pourquoi je conseille vivement à ceux d’entre eux qui souhaitent faire de la recherche, de se diriger dans cette voie.

Témoignages d’étudiants issus de formations médicales

  • M.G (Master 2 année, Interne des Hôpitaux de Paris filière Pédiatrie) J’ai trouvé ce Master très abordable sur le plan scientifique pour le médecin que je suis et qui n’a plus fait de sciences fondamentales depuis 7 ans, sous réserve de fournir du travail en amont des cours pour se réapproprier les notions de base. Le mode de validation était hétérogène selon les modules ; j’ai trouvé particulièrement subjective la validation du module "Erasmus".

Témoignages d’étudiants ayant un BTS

  • KF (BTS Biotechnologie ENCBP, Etudiant en M1 du Magistère). Pourquoi le Magistère de Génétique ? C’est durant mon stage de deuxième année de BTS que je me suis rendu compte que je souhaitais faire de la recherche mon métier, sans savoir quelle voie serait la plus appropriée. Je savais que le chemin jusqu’à la thèse serait long et qu’un avantage certain pour y accéder serait de multiplier les expériences, et notamment à l’étranger. Le Magistère, plus que toute autre formation, répond à cette attente. En licence j’ai eu l’immense privilège d’inaugurer le partenariat entre le Magistère et New York University et ainsi participer au prestigieux programme d’été d’NYU appelé SURP. Actuellement en Master 1, je m’apprête à partir à San Francisco au sein d’un laboratoire reconnu dans le monde entier. C’est aussi là que j’ai vu comment le Magistère pouvait faire la différence, ces expériences me permettent de me créer un réseau de connaissances en France via de nombreuses visites de laboratoires et à l’étranger via les stages et ce dans des domaines variés qui pourront m’être utiles pour la suite. Le MEG, c’est aussi l’opportunité de se construire son parcours car à partir du M1 et pour le reste du M2 on peut choisir ses cours, ce qui est vraiment appréciable. Je terminerai par dire que le MEG apporte une atmosphère « promo » ce qui n’est vraiment pas commun à la fac. Les professeurs sont toujours disponibles et sont très investis dans la formation. La somme de tous ces facteurs font du Magistère un choix à réellement considérer pour tout étudiant en sciences de la vie qui souhaite faire de la recherche et avoir un parcours universitaire atypique.
  • M. E. (BTS ESTBA, Etudiant M1 du Magistère). Actuellement en M1, je suis très heureux d’avoir fait le choix du magistère. Je viens du BTS Analyses de Biologie Médicale (ABM), et il est vrai que nous sommes réellement sous informés vis à vis des possibilités de continuer après le BTS, hormis celles dont mon école était partenaire, c’est à dire les licences professionnelles. La recherche n’est pas ce qui attire la majorité des personnes faisant ce BTS, qui veulent avoir une formation diplômante, ou bien continuer dans le secteur industriel. J’ai donc dû me débrouiller pour chercher une formation qui correspondait à mes envies, et c’est par des amis dont j’ai fait la connaissance en PCEM1 que j’ai entendu parler du Magistère Européen de Génétique. Ce qui m’a surtout séduit est la possibilité de faire des stages à l’étranger. Je ne regrette pas du tout ce choix puisque j’ai ainsi pu partir au Canada en L3, et je vais pouvoir partir à Singapour cette année. Venir d’un BTS ABM n’est pas simple à première vue pour réussir au sein du Magistère, puisqu’il n’y a pas ou très peu de cours de génétique, biologie cellulaire et biologie moléculaire. Toutefois, l’expérience pratique acquise, ainsi que des connaissances avancées en microbiologie, en immunologie et en hématologie sont un sérieux atout pour la suite. De ce point de vue, le Magistère permet un parcours personnalisé (pas forcément en Génétique) à partir du second semestre du M1, qui correspond parfaitement à mes attentes pour me préparer à la thèse.
  • P. P. (BTS Biotechnologies ENCPB, Etudiant en L3 du Magistère). Voila mon Avis concernant le Magistère en L3, même si je manque encore de recul. Je viens d’un BTS Biotechnologies Le premier semestre même s’il a été particulièrement difficile en abordant des notions jamais effleurées dans mes études antérieures, n’a été que plus qu’enrichissant. Au delà d’une formation théorique complète et solide, on acquiert une démarche de réflexion et de recherche qu’on ne trouve pas au BTS. On se pose beaucoup plus de questions, on n’accepte pas tout simplement, on essaie de comprendre et d’aller plus loin. Cela complète d’une certaine façon ma formation technique que j’ai reçu au BTS, tout en la spécialisant davantage. J’attends d’en apprendre encore plus, mais pour le moment, le Magistère apporte tout ce que je souhaitais trouver, c’est à dire plus de théorie pour plus de compréhension afin d’aller plus loin.
  • T. C. (BTS ENCPB, Etudiante L3 du Magistère). Avant d’intégrer la L3 au Magistère Européen de Génétique, j’ai fais un BTS en Biotechnologies à l’ENCPB de Paris. Ce sont mes professeurs qui m’ont parlé du MEG et j’ai tout de suite été attirée. En effet le Magistère Européen de Génétique représente la possibilité de suivre de hautes études tout en bénéficiant d’un enseignement de qualité. Je pense qu’après un BTS, les études permettant de continuer après un bac +5 sont assez restreintes, c’est pourquoi j’ai considéré le Magistère Européen de Génétique comme poursuite d’étude idéale pour aller jusqu’à la thèse. En plus d’un enseignement personnalisable grâce aux options libres, le Magistère Européen de Génétique offre l’opportunité de réaliser des stages à l’étranger. Cette chance est vraiment le moyen d’acquérir encore plus de connaissances, autant sur le point scientifique que personnel grâce à la découverte de nouveaux pays, en Europe ou en Amérique du Nord par exemple. Finalement aucune formation ne permet d’obtenir un aussi solide bagage afin de poursuivre en doctorat, et j’espère vraiment pouvoir réussir avec succès ces trois années de Magistère.

 

Dernière modification, le 9 mars 2012.

 

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